Contrairement à ce qui est devenu une pensée habituelle, le décodage biologique affirme que la maladie – ou le symptôme – ne serait pas le fruit du hasard ou de la malchance. Mais elle serait bien une adaptation du corps: une réaction à ce que le cerveau identifierait comme un « problème » ou une menace pour l’organisme.
La réponse à cette menace serait alors une solution biologique.Principalement, une solution de survie. Une réparation d’une fonction biologique primaire non satisfaite. Et de surcroît, elle serait presque toujours inconsciente. La maladie apparaîtrait donc dans le cadre du processus naturel d’adaptation biologique issu tout simplement de notre évolution.
Depuis des centaines de milliers d’années, notre corps évolue. Il s’adapte sans cesse à un nouvel environnement, à de nouvelles contraintes, à de nouvelles « équations de survie » qui se présentent à lui.
Depuis quelques dizaines de milliers d’années seulement, le développement de nos perceptions sensorielles et l’apparition de niveaux beaucoup plus « fins » d’analyse psycho-émotionnelle de notre cerveau ont amené de nouveaux défis à notre cerveau. Il doit maintenant faire cohabiter une partie ancienne en grande partie autonome basée sur des réflexes primitifs de survie. Et une partie beaucoup plus récente et élaborée, émotionnelle d’abord, puis intellectuelle qui vient brouiller les cartes (…)